Accueil > Outre-Mers. Revue d’histoire coloniale et impériale > N° 376-377 : Cent ans d’histoire des outre-mers. SFHOM, 1912-2012 (...)

N° 376-377 : Cent ans d’histoire des outre-mers. SFHOM, 1912-2012 (décembre 2012)

Le 13 septembre 2013 à 14h59

Table des matières
Première partie
Introduction générale
Le centenaire de la SFHOM

« Avant-Propos »

Hubert Bonin, « Commémorer le centenaire de la SFHOM : défis et enjeux »
1. Le risque de l’hagiographie commémorative
2. Un ministre des Colonies représentatif des enjeux de l’empire
3. Des années décisives et symboliques de l’histoire coloniale (1911-1913)
4. Que commémorer ?
5. De l’histoire des colonies françaises à l’histoire des outre-mers : des communautés de vie ultramarine successives

Josette Rivallain, « La Société française d’histoire d’outre-mer : une société savante de l’outre-mer d’hier et de demain »
1. L’environnement de la création de la Société au début du XXe siècle
2. Martineau et la fondation de la Société
3. L’esprit initial de la fondation de la Société
4. L’évolution de l’esprit de la société
5. Bilans éditoriaux
A. Un tout premier bilan en 1923
B. Un deuxième bilan en 1933
C. De l’après-guerre au XXIe siècle

Deuxième partie.
Les empires coloniaux au moment de la création de l’association

Jean-Philippe Zanco et Julie d’Andurain, « Les ministères de l’outre-mer en 1912 : concurrence ou complémentarité ? »
1. Marine et Colonies, histoire d’un divorce
A. Les colonies, une administration spéciale
B. Doubles budgets ou autonomie ?
C. Le ministère de la Marine et des Colonies
2. La lente émergence du ministère des Colonies
A. Un sous-secrétariat d’État matriciel
B. Un « parti colonial » fédérateur
C. Une structure ministérielle fragile
3. La concurrence du ministère de la Guerre
A. Marsouins et bigors
B. Du refus de rester à la Marine
C. La loi sur les troupes coloniales ou le rattachement à la Guerre
Conclusion

Amaury Lorin, « Les ministres français des Colonies en 1910-1914 »
1. René Besnard (1879-1952)
2. Albert Lebrun (1871-1950)
3. Adolphe Messimy (1869-1935)
4. Jean-Baptiste Morel, dit Jean-Morel (1854-1927)
Conclusion

Pierre Vermeren, « Lyautey au Maroc en 1912 : ambitions, jeux de pouvoir parisiens, environnement politique et enjeux géopolitiques »
1. Lyautey, un général monarchiste au service d’une République coloniale
2. Lyautey, le traité de Fès et l’insurrection marocaine (en 1911-1912)
3. Le Protectorat, une « fiction » dénoncée par Lyautey

Évelyne Combeau-Mari, « Madagascar (1910-1915). L’après-Victor Augagneur »
1. Le gouvernement d’Albert Picquié (octobre 1910-octobre 1914)
A. La succession d’Augagneur : laïcité et promotion des élites malgaches
B. Enjeux économiques et construction des voies de communication
2. Aspects de la vie culturelle et associative dans la colonie
A. La vie culturelle des communautés malgaches
B. La vie associative, les loisirs et les sports

Yvan Combeau, « L’île de La Réunion en 1912. Une province coloniale dans l’océan Indien »
1. Affirmer une position coloniale dominante.
2. Une colonie politiquement divisée
3. Des crises politiciennes à la crise internationale

Vaki Gleiza et Jean-Marc Regnault, « Tahiti et ses îles : 1880-1914. Une micro-société coloniale aux antipodes de la métropole »
1. Une colonie bientôt sans population ?
A. Une dépopulation inévitable ?
B. Nouveaux arrivants et métissage
C. Le peuplement chinois
D. Des tensions multiples, mais présentées comme un modèle de cohabitation
2. Une double volonté d’assimilation
A. Les efforts de l’Administration en faveur de l’assimilation
B. Les efforts des Églises
C. Un seul objectif : faire des Polynésiens des citoyens français
3. De paradoxales résistances à l’assimilation
A. Les résistances des colons
B. Résistance, passivité ou résignation des populations autochtones ?
C. Des images réciproques : deux mondes qui ne cherchent pas trop à se rencontrer
D. La naissance d’une nouvelle identité polynésienne autour d’un christianisme « océanisé »

Essoham Assima-Kpatcha, « Le Togo en 1912-1913 »
1. La situation politique et administrative
2. L’environnement économique et financier
3. Le contexte social et culturel

Claire Villemagne, « Du Tonkin des pionniers à la mise en valeur de l’Indochine. Le symbole de « l’affaire Dupuis » (1872-1912) »
1. Dupuis avant le Tonkin
2. Garnier et Dupuis : deux profils voisins
3. Dupuis et « l’invention du Tonkin »
4. Dupuis et Paul Bert : les limites des interventions politiques
5. Dupuis en homme d’affaires
6. L’impasse d’un modèle économique devenu périmé

Patrice Morlat, « L’Indochine à l’époque d’Albert Sarraut »
1. La nomination de Sarraut (1911)
2. L’Union indochinoise en 1911
3. Une société multipolaire
4. Les entrepreneurs pionniers
5. L’intensification d’une vie économique « moderne » en Indochine
A. L’influence de la Banque de l’Indochine
B. Un mouvement d’essaimage des entreprises à l’européenne
C. L’apprentissage de « la mise en valeur » à la Sarraut
6. Tensions nationalistes et développement de l’appareil répressif
7. Sarraut engagé dans des réformes (1911-1914)

Frans Buelens, « Le tournant de 1908 : de l’État indépendant du Congo au Congo belge »
1. L’enjeu de la confiscation des terres
2. L’enjeu de l’orientation de l’économie coloniale congolaise
3. L’enjeu du modèle économique congolais
4. L’enjeu du travail forcé et des droits de l’homme
5. L’année 1908 : la fin d’un modèle colonial politique et économique
6. Les illusions du tournant de 1908

Alexandre Fernandez, « Le second congrès de la Société espagnole de géographie ‘coloniale et commerciale’ (novembre 1913) et le protectorat marocain : les ‘savants’ marginalisés »
1. Du déclin ultra-marin de l’Espagne
2. Des savants et des hommes de plume à l’origine d’une « politique africaine » ? Le congrès de 1883 et la Sociedad de Africanistas y Colonistas
3. La Sociedad de Geografía Comercial de Barcelone et les centros hispano-marroquies : africanisme et affairisme ?
4. Le second congrès, le protectorat et la création de la Liga de Africanistas (1912-1913)

Palmira Tjipilica et Nuno Valério, « Idéaux républicains et régime des indigènes dans l’empire colonial portugais après l’instauration de la République en 1910 »
1. Les statuts des citoyens et de l’indigénat dans l’empire colonial portugais
2. La remise en cause du statut de l’indigénat
3. L’indigène comme main-d’œuvre
4. Le rôle des Missions coloniales républicaines
5. L’abandon des idéaux de 1910 : le nouveau statut de l’indigénat (1926-1928)

Frédéric Thial de Bordenave, « L’empire japonais en 1912 »
1. Les « nouveaux territoires » et leurs ressources : des zones tampon à vocation agricole
2. Les gouverneurs généraux et l’administration coloniale : la délégation du pouvoir à l’Armée
3. L’État moderne au service du colonisé : la mise en place d’un régime policier.
4. La politique de pacification et « l’affaire des cinq cents ». La vaine résistance des colonisés et la délicate question du protestantisme en Corée
5. L’égalité des droits et l’acculturation : le statut de sujet et la participation à l’administration coloniale
6. L’enseignement et la transmission de l’idéologie impériale : l’apprentissage du japonais et un accès limité à l’éducation supérieure
7. La colonisation de peuplement et la Compagnie orientale de développement : la confrontation des promesses impériales à la réalité des « nouveaux territoires »
8. Les colons et « l’esprit japonais » : une population urbaine exclue du système constitutionnel
9. Dalien et la pénétrante du Sud-Mandchourien : la mise en valeur du Nord-est de la Chine au service de l’impérialisme nippon
10. La révolution chinoise et l’Armée : la collision de l’impérialisme et du militarisme

Nicole Tixier, « La France en Chine lors de la mise en place de la Société de l’histoire des colonies françaises en 1912-1913 »
1. Des spécialistes de la Chine à la Société de l’histoire des colonies françaises
2. L’intrusion de la France et des Puissances dans le processus révolutionnaire
3. La course aux emprunts en 1912
4. Les intérêts français en Chine au tournant de la deuxième décennie du XXe siècle
A. Les postes dans les quatre concessions
B. Les postes dans les régions intérieures et périphériques de la Chine
5. Une évaluation du rayonnement économique et culturel français en Chine
B. Les efforts engagés dans le domaine culturel
Conclusion

Troisième partie.
De la Société de l’histoire des colonies françaises à la SFHOM.
La création et la vie de l’association, reflets des mentalités impériales ?

Nathalie Rezzi, « Alfred Martineau, le « colonial » historien des colonies »
1. Alfred Martineau : un provincial « monté » à Paris.
A. Le fils de cultivateurs devenu chartiste.
B. Martineau député boulangiste
2. Martineau : l’homme des colonies.
A. Un parcours colonial chaotique
B. Un membre du mouvement colonial français.
3. L’œuvre de Martineau : la Société d’histoire des colonies françaises
A. Vers la Société d’histoire des colonies françaises
B. La Société d’histoire des colonies : une composante du « parti colonial » ?
4. Comment la Société d’histoire des colonies françaises participe-t-elle à l’institutionnalisation de l’histoire coloniale ?
Conclusion

Bernard Droz, « Alfred Martineau, professeur d’histoire coloniale au Collège de France (1921-1935) »
1. Martineau et les sciences coloniales
2. L’enseignement de Martineau
3. Martineau engagé dans l’histoire coloniale
4. En guise de bilan : quel type d’histoire coloniale ?

Julie d’Andurain, « Le poids du comité du Maroc et du “parti colonial” dans la Société de l’histoire des colonies françaises (1903-1912) »
1. La naissance de la « question du Maroc »
2. Les « Marocains » ou le Comité du Maroc (1903)
3. L’invention d’un impérialisme culturel ?

Isabelle Chiavassa, « Quatre figures, diplomates ou banquiers, à la tête de la SFHOM : jalons pour une histoire de la présidence »
1. Deux présidents hauts fonctionnaires
A. Jean Boissonnas (jusqu’en 1953)
B. Robert Delavignette (1954-1960)
2. Des vice-présidents hommes d’affaires prestigieux
A. François Charles-Roux en figure de la communauté « impériale »
B. Louis Renaudin, figure de la communauté méditerranéenne

Hubert Bonin, « La SFHOM et les milieux d’affaires ultramarins : Georges Nesterenko trésorier »
1. Un outre-mer militaire
2. Un outre-mer des ingénieurs des Ponts & Chaussées
3. Un outre-mer marocain
4. Nesterenko patron de la SCOA : un grand de la Françafrique
A. Paribas prend le contrôle de la SCOA
B. Nesterenko à la barre de la SCOA
C. Nesterenko l’internationaliste
D. Nesterenko tout puissant ?
E. Nesterenko en difficulté
F. Nesterenko entame le repli, trop tard
5. Nesterenko engagé dans la promotion des intérêts ultramarins

Quatrième partie.
De la Revue de l’histoire des colonies françaises à Outre-Mers. Revue d’histoire. Analyses critiques du contenu

Olivier Blamangin, « Une analyse du contenu de la Revue d’histoire des colonies françaises en 1913-1939 »
1. L’idéologie coloniale dans la Revue française d’histoire coloniale
A. « L’œuvre civilisatrice » mise en valeur
B. Construire le monument de « nos gloires coloniales »
C. La découverte de l’autre
2. Une étude quantitative du contenu de la Revue de l’histoire des colonies françaises
3. L’histoire de l’Afrique au sein de la Revue d’histoire des colonies françaises : l’évolution par zone géographique
4. Une analyse des auteurs des textes de la Revue
5. Une analyse des comptes rendus bibliographiques
6. Les champs thématiques de l’Histoire dans la Revue
7. Une analyse des champs géographiques de la Revue
8. Une analyse des thématiques historiques de la Revue
Conclusion

Raymonde Litalien, « Le regard porté par la Revue sur l’empire colonial français sous l’Ancien Régime »
1. L’objectif de ne négliger aucune colonie
2. Des articles de fond sur des grandes étapes de l’histoire canadienne
3. Un effort d’exhaustivité bibliographique et événementielle
4. Une expression de l’historiographie sur le Canada au XXe siècle

Odile Goerg, « De Chandernagor et Saint-Domingue à l’Afrique dans l’empire français : le glissement spatial des centres d’intérêt d’Outre-mers »
1. Des colonies françaises aux outre-mers
2. Découper les mondes non européens
3. Des premiers établissements lointains aux questionnements contemporains

Danielle Bégot, « Les Antilles et la Revue d’histoire des colonies (1913-1958) »
1. Une présence en pointillé
2. Les Antilles, une leçon pour l’empire ?
3. La construction d’un objet scientifique

Léo Elisabeth, « Le thème de La Martinique : huit décennies de contacts »
1. Une succession de générations
2. Le rôle clé de Gabriel Debien
3. Le renouveau du dernier quart du XXe siècle
4. La percée des publications en anglais

Jacques de Cauna, « Saint-Domingue, Toussaint Louverture et Haïti dans la Revue et les publications de la SFHOM »
1. En survolant le panorama thématique de la Revue : périodisation et évolution
A. Dans les temps de la fondation et de la maturation
B. L’évolution du contenu dans les années 1960-1990
C. Outre-Mers. Revue d’histoire et l’espace caraïbe
2. Les ouvrages de référence et l’activité éditoriale de l’association
3. Toussaint Louverture, Gabriel Debien et les études haïtiennes
4. Chroniques bibliographiques et comptes rendus, des outils de veille scientifique

Guy Pervillé, « L’Algérie de 1913 à 1931 dans la Revue de l’histoire des colonies françaises »
1. Le service militaire obligatoire (1913) et la question du nationalisme algérien
A. Les débats politiques de l’avant-guerre et leurs prolongements
B. L’apparition du nationalisme algérien vue par les historiens plus d’un demi-siècle plus tard
2. L’Algérie dans la Revue de l’histoire des colonies françaises
A. La lente apparition de l’Algérie dans la première décennie de la Revue
B. Une présence renforcée au moment du Centenaire
C. La perception de l’histoire algérienne par la Société et la Revue

Hélène d’Almeida-Topor, « Réflexions sur un siècle de l’Afrique à travers les publications de la SFHOM (1912-2012) »
1. Deux thèmes majeurs dans l’histoire économique de l’Afrique
2. L’élargissement des thématiques
3. Des écrits plus pragmatiques

Catherine Coquery-Vidrovitch, « La Revue française d’histoire d’outre-mer : de la Revue d’histoire des colonies à une revue d’histoire du monde non occidental (1959-c.1990) »
1. L’évolution de la Revue au tournant des années 1960
2. Un premier tournant décisif (dans les années 1960)
3. Un second grand tournant (à la fin des années 1970)

Quatrième partie.
Commémorations et histoire : les enjeux critiques

Bertrand Taithe, « Empire, histoire et mémoire. L’urgence historique en situation coloniale »
1. Les empires du passé
2. Les empires du présent
3. Histoire et légitimité ultramarines

Jacques Portes, « Des commémorations entre la France et l’Amérique du Nord (1902/1913) »
1. Des initiatives françaises de faible intensité
2. L’exemple extraordinaire de 1903/1904 : le centenaire de la Louisiane américaine

Bernard Dupaigne, « La maturation du Musée d’ethnographie au tournant du XXe siècle »
1. À la Révolution, la naissance des musées modernes
2. La création du Musée d’ethnographie
A. Étude des cultures ou étude des races ?
B. Vers le Musée d’ethnographie du Trocadéro
3. L’Exposition universelle (1878) et le Musée d’ethnographie du Trocadéro (1880)
4. La mise sur pied du Musée d’ethnographie
A. Le rassemblement et l’organisation des collections
B. Les mouvements des collections
C. Les personnalités et communautés proches du musée du Trocadéro
5. Le Musée d’ethnographie et la vie artistique dans les années 1900-1910
6. Les maux du Musée d’ethnographie
7. Une communauté scientifique mobilisée pour le Musée d’ethnographie (dans les années 1920-1930)

Li-Chuan Tai, « L’histoire des colonies dans le monde de l’érudition : le cas d’Henri Cordier »
1. Cordier et l’outre-mer asiatique
2. Cordier dans un réseau de sociabilité érudite
A. Cordier et Charles Schefer
B. Cordier et le classement de fonds d’archives ultramarins
C. Cordier et la Société des américanistes
Conclusion

Colette Zytnicki, « Transmettre l’histoire des colonies. L’enseignement du passé de l’Afrique du Nord à la Sorbonne (1900-1945) »
1. L’entrée du monde colonial à la Sorbonne : le rôle de la géographie coloniale
2. La création du cours de géographie et de colonisation de l’Afrique du Nord
3. Pas de place pour l’Afrique du Nord dans le cours d’histoire coloniale
4. Les thèses consacrées à l’Afrique du Nord en histoire de la fin du XIXe siècle au milieu du XXe siècle
5. L’Afrique du Nord dans les cours, de 1920 à la fin de la Seconde Guerre mondiale
Conclusion

François Hubert, « Un exemple de commémoration critique : comment exposer l’esclavage dans un musée grand-public. Le cas du Musée d’Aquitaine »
1. Commémoration et contexte muséographique
2. Commémoration et contexte mémoriel
3. Musée et reconnaissance des réalités historiques
4. Les enjeux de la muséographie
A. Premier espace : Bordeaux au XVIIIe siècle, la fierté d’une ville de pierre
B. Deuxième espace : Bordeaux porte océane, commerce en droiture et traite des Noirs
C. Troisième espace : l’Eldorado des Aquitains
D. Quatrième espace : des héritages
5. Les choix de l’exposition permanente du XVIIIe siècle
6. Un aperçu sur l’opinion des visiteurs
7. Exposer la traite et l’esclavage : des débats encore nourris

Marie-Christine Touchelay, « La rupture du lien colonial en Guadeloupe. Une très discrète sortie d’empire (1946) »
1. Des tentatives d’explication : pourquoi 1946 ?
A. Trois mois pour suivre l’exemple de la Guyane et se rallier à la France libre
B. Changement de régime politique et production sucrière
2. Interrogations sur le lien « colonial » en Guadeloupe
3. Les entrepreneurs et la départementalisation
Conclusion. « Colonie vs. outre-mer » : un constat d’échec, logiquement non partagé

Philippe Delisle, « L’histoire des missions chrétiennes à l’époque contemporaine. Un champ en constant renouvellement dans le monde francophone »
1. Une histoire longtemps confessionnelle et apologétique
2. La rupture des années 1970-1980
3. Mobilisation en Europe et représentations
4. Missions, esclavage et colonisation
5. Missions et acculturation
6. Centralisation romaine, histoire de la santé ou du genre

Adame Ba Konaré, « La recherche en Afrique, le domaine de l’histoire : de la période coloniale française à nos jours, état des lieux dans le cas du Mali »
1. Les premières avancées critiques
2. Une vaste réforme de l’enseignement
3. Une histoire-réponse
4. Histoire et griots
5. Une dialectique entre l’historien et ses écoutants
(650 pages)